Pour le protéger contre des maladies qui sont contagieuses dans la plupart des cas, dont certaines sont des zoonoses pour l’être humain (maladie qui se transmet à l’homme) et dont d’autres sont potentiellement mortelles.
Quelle est la fréquence de vaccination ?
Au cours de la première année de vie plusieurs rappels de vaccin sont nécessaires (au nombre de trois en moyenne) pour obtenir la meilleure protection possible contre ces maladies. Il est recommandé de respecter un délai de dix jours entre le moment de l’adoption et celui de la première vaccination car votre animal pourrait être infecté sans toutefois démontrer de signes cliniques dans les premiers jours.
Est-ce qu’il y a des délais à respecter pour vacciner notre animal ?
Si la vaccination du chiot en bas âge est réalisée adéquatement en respectant les délais prescrits entre chaque vaccination nous pourrons ensuite revoir votre animal une fois par année. Dans tous les cas il est important d’adapter le protocole de vaccination selon les habitudes de vie de votre animal tout en respectant les normes de base.
Est-ce qu’il y a des exceptions à la vaccination ?
Il se peut que dans certains cas, pour des raisons liées à l’état de santé de votre animal, nous vous déconseillons de procéder à la vaccination (exemple : maladie auto-immunitaire).
Les vaccins sont-ils efficaces ?
Au fil des ans, c’est par la vaccination que nous avons pu diminuer l’incidence de plusieurs maladies infectieuses. Nous avons aussi adapté nos protocoles aux nouvelles données acquises par la recherche au fait que certains vaccins comme celui de la rage sont homologués pour une période de trois ans. Au-delà de cette période, aucune recherche ne prouve leur efficacité.
Est-il nocif de vacciner notre animal ?
Aucune études ne fait mention à ce jour qu’il est contre-indiqué voir même nocif de vacciner votre animal. Au contraire, il y a plus de bénéfices que de risques. Les risques étant la possibilité pour votre animal de faire une réaction allergique. Pour minimiser les risques, il est important de bien communiquer au client les effets secondaires possibles, l’urgence de consulter s’il y a lieu et de pouvoir leur donner une solution alternative advenant que cette réaction se produise lorsque l’établissement est fermé. Il ne faut pas oublier que c’est un être vivant et que celui-ci ne réagit pas tout le temps comme il le devrait !